Acceptant d'examiner le plaidoyer, un tribunal de vacances présidé par le juge Vikram Nath a demandé une réponse du NBE, du Comité de conseil médical (MCC) et d'autres.

"Émettre un avis à retourner le 8 juillet 2024. En attendant, les intimés peuvent déposer leurs contre-affidavits", a ordonné la magistrature, composée également du juge S.V.N. Bhatti.

Au cours de l'audience, la National Testing Agency (NTA) a déclaré qu'elle n'était pas une partie nécessaire au litige et qu'elle pourrait être supprimée de la liste des parties. "Le PG (examen d'entrée) est organisé par le Conseil national des examens", a soumis l'avocat de la NTA.

Après avoir entendu les arguments, le juge Bhatti a déclaré : « Vous pouvez le consigner au dossier. Lorsque nous rendrons une ordonnance, nous utiliserons notre pouvoir discrétionnaire en vertu des règles de la Cour suprême et vous supprimerons de l'éventail des partis.

Le plaidoyer déposé directement devant le tribunal suprême attaquait « l'acte et la décision arbitraires » du NBE de ne pas publier le questionnaire, le corrigé et la feuille de réponses pour NEET-PG 2022 et de ne permettre aucune option pour réévaluer le score, même après sachant qu'il y avait de « graves divergences » dans les scores des candidats qui se sont présentés à l'examen dans un passé récent, c'est-à-dire pour NEET-PG 2021 et NEET-PG 2022.

"Il n'y a pas d'autres concours en Inde, avec un tel manque de transparence et un tel flux d'informations unilatéral que NEET-PG", indique le plaidoyer déposé par l'avocat Charu Mathur.

Il a ajouté que le NEET-UG organisé par la NTA offre aux candidats la possibilité de contester les corrigés et que plusieurs autres examens prestigieux, notamment l'IIT-JEE, le CMAT, le CLAT et les examens des services judiciaires, offrent également la possibilité de contester les corrigés.

Cependant, le bulletin d'information publié par NEET-PG 2024, suivant la tendance des années précédentes, interdit les demandes d'accès aux feuilles de réponses et interdit à la requérante d'exercer son droit constitutionnel et son droit légitime d'accéder à ses feuilles de réponses, même en vertu du droit à l'information (RTI). ) Loi de 2005, indique le plaidoyer.