Les responsables des deux pays ont signé le protocole d'accord en marge de la 68e session ordinaire de la Conférence générale de l'Agence internationale de l'énergie atomique à Vienne. Cela comprend une coopération bilatérale en matière de recherche, d'éducation et de mise en œuvre de projets communs, a rapporté IRNA.

Lundi, le président iranien Masoud Pezeshkian a affirmé que son pays n'avait pas l'intention de développer des armes nucléaires, repoussant ainsi les inquiétudes internationales concernant son programme d'enrichissement d'uranium.

En 2015, l’Iran a signé le Plan d’action global commun avec plusieurs grands pays du monde, dans lequel l’Iran a accepté de limiter son programme nucléaire en échange d’un allègement des sanctions.

L'accord est menacé depuis le retrait des États-Unis en 2018 sous l'ancien président Donald Trump, réimposant des sanctions à Téhéran, a rapporté l'agence de presse Xinhua.

Les efforts visant à relancer l’accord sont au point mort depuis août 2022, malgré plusieurs cycles de négociations à Vienne. Alors que les tensions persistent, la communauté internationale continue de surveiller de près les activités nucléaires de l’Iran.